GABON-DIPLOMATIE : Le Président de la Transition réitère le respect du chronogramme aux responsables de l'Onu
Le Président de la Transition, Président de la République, chef de l'État, le GBR Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, a eu un agenda très chargé en marge du segment présidentiel du Sommet de l'Avenir à New York, aux États-Unis,
Il a tour à tour eu des audiences avec Antonio GUTERRES, Secrétaire Général de l’ONU, ainsi qu’avec Philémon YANG, Président de la 79e session de l’Assemblée des Nations unies. Ces rencontres avec ces deux personnalités lui ont permis de revenir principalement sur le déroulement de la Transition en cours au Gabon.
Ses interlocuteurs se sont ainsi réjouis de l’engagement de du Président de la Transition, leader du Comité pour la Transition et la restauration des institutions (CTRI) à œuvrer au retour rapide à l'ordre constitutionnel, notamment, sur la réécriture de la Constitution, l'Assemblée constituante venant de rendre sa copie.
Charles MICHEL, Président du Conseil européen, reçu dans la foulée, a eu une rencontre axée sur la coopération entre le Gabon et l’Union européenne (UE), mais également sur les questions de paix, sécurité, développement, diversification économique et environnementale. Occasion pour le diplomate européen d'exprimer la volonté de son institution d'accompagner la Transition.
Tony ELUMELU, PDG de la banque UBA fut la quatrième personnalité à être reçue par le Président de la Transition Au centre des échanges, la collaboration entre le gouvernement gabonais et l’institution financière dans le cadre de la mise en œuvre de projets infrastructurels.
Dernière personnalité à être reçue, le Dr Juliette BIAO KOUDENOUKPO, Directrice et Représentante régionale du Forum des Nations Unies pour les Forêts (FNUF), preuve que l'environnement n'a pas été occultée dans l'agenda du Président Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA. Une rencontre durant laquelle la responsable de l’Onu-Environnement sur le continent africain a félicité le leadership du Gabon. Non sans solliciter un partenariat entre le Gabon et son institution. Pour le Dr Juliette BIAO KOUDENOUKPO, la question de financement demeure fondamentale. Et le soutien du Gabon pourrait faire école.
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